Il faut éduquer à l’usage efficient du courriel...

La lecture d'un article Thierry Karsenti ("Quand le professeur croule sous le poids des courriels") (http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/700/221/) m'interpelle et ne m'étonne pas. Je peux même généraliser et dire presque tout le monde croule sous le volume des courriels. L’utilisation facile des courriels peut créer (ou plutôt engendre de plus en plus) de l’infobesité) et nous fait tomber dans l’excès. Entre le courriel au travail, à la maison, les courriels personnels (personnellement j’ai 3 : yahoo, gmail, hotmail), les messageries msn et Skype... ne me dites pas que vous ne recevez pas beaucoup de messages inutiles, sans importance capitale pour vous... Ces systèmes de gestion de courriel sont tellement simples que des gens par un simple « envoyer», « transférer », « cc », « répondre »...vous bombarde, vous ajoute sans se soucier est-ce vraiment de l’information utile pour vous. Parfois, on frôle le « harcèlement » par des informations venant de toute part (et je ne parle pas des pourriels). Et que dire de long textes ou des messages sans bonjour ni au revoir.... et j’en passe

Alors avant d’envoyer un message, réfléchissez est-ce que cela vaut vraiment le coup et qui peut être réellement très intéressé à le recevoir et soyez bref et concis. Et si vous êtes abonnés à des listes de diffusion que vous n’exploitez pas (faute de temps), faites comme moi, désabonnez-vous car je préfère m’informer avec les fils de nouvelles RSS quand je veux et quand je veux.
Et n'oubliez pas trop d'info. nuit à l'info.